vendredi 27 septembre 2013

Venez me Rencontrer au Cocktail Réseautage JCCM

La Jeune Chambre de commerce de Montréal ont organisé un cocktail réseautage et je serai présent.

"Cet évènement se tiendra le  15 octobre prochain de 18 h à 20 h au Club Saint-James, situé au 1145 Avenue Union à Montréal où plus de 200 jeunes professionnels et entrepreneurs de la relève seront attendus. Ainsi, dans une formule réseautage ce sera l'occasion pour nos membres d'échanger, de discuter et de rencontrer les candidats afin de faire un choix éclairé lors des élections du 3 novembre prochain." (Camille Quintal - JCCM)

jeudi 26 septembre 2013

La Ville de Montréal n’a rien perdu de sa fierté

«Concordia Salus» – La Paix dans la Concorde (devise de la ville)
C’est joli n’est-ce pas?


Rencontre avec les animateurs de l’émission « Arrondissements à l’écoute » sur les ondes de Radio Centre Ville

Je rencontre les animateurs de l’émission « Arrondissements à l’écoute » sur les ondes de Radio Centre Ville (102.3 FM), la radio multiethnique de Montréal. On y parlera du programme que je propose aux Montréalais(es). Pas de polémique, juste de l’échange courtois entre gens qui veulent s’informer. Cette rencontre sera diffusée et rediffusée sur les ondes radio et les sites internet lundi 30 septembre vers 9hrs du matin. 

Voici l'entrevue en format MP3.

Vous pouvez écouter le Podcast de cette émission l'entrevue est à la fin de l'émission.



mercredi 25 septembre 2013

Affiches Électorales


J’ai trouvé quelques alliés qui vont s’occuper de l’affichage en ville. Comme je n’ai nullement l’intention d’en tapisser la ville, j’en ai fait faire une douzaine Rien d’encombrant. C’est un jeune de 24 ans (Samuel Carrier) en visite chez moi, qui en a pris le cliché. Cette photo a été prise sur le balcon de ma galerie arrière, qui donne sur une ruelle de Montréal. Je n'ai pas payé pour cette photo qui faisait partie d'un lot d'une vingtaine d'autres. Cette affiche a été réalisée par:

 

Sur mon autorisation, parce que je suis à la fois le candidat et l'agent autorisé. Elles seront placées dans les deux dernières semaines de la campagne électorale.

samedi 24 août 2013

La campagne électorale est proche. Comment la faire sans argent ?

Les dépenses publicitaires en vue de l’élection du 3 novembre prochain

J’ai reçu quelques demandes de la part de personnes qui veulent travailler à mon élection, au sujet de la marche à suivre afin de réaliser des affiches, des panneaux et/ou de la réclame, en vue de favoriser ma visibilité au cours de la campagne qui va se dérouler entre le 20 septembre et le 3 novembre prochain.

La visibilité en campagne électorale.

Dans le cas du candidat indépendant que je suis, je n’ai pas de problème quelconque avec la publicité en temps d’élection, sauf cette manie polluante visiblement, qui consiste à couvrir les poteaux et lampadaires d'affiches monstrueuses, sur lesquelles s'étalent les visages fabriqués des candidats. Il est hors de question que je me livre à une telle débauche d'affichage. Je pense plutôt à épingler dans les arrondissements sur les poteaux de l'Hydro par exemple, des feuillets de 8 1/2 X11 avec quelques éléments choisis du programme que je compte faire valoir si je suis élu. J'espère aussi que les médias s'attarderont démocratiquement à ces candidats moins visibles dont je suis (il y en a d'autres), que les Bergeron, Coderre et autres Coté qui sont les chouchous des médias. À croire ma foi que les journalistes qui couvrent cette campagne ont décidé par dessus la tête de l'électorat qui devra y participer.

Qui peut se mêler de cette campagne ?

Ma situation se résume à  ceci : en lisant et en relisant le guide du candidat, et en tâchant de comprendre la loi électorale malgré son jargon juridique qui en rend la lecture éprouvante, je dois aviser ici mes supporters que je ne donnerai aucune autorisation pour quelque publicité que ce soit.

Cela ne veut pas dire qu’il n’y en aura pas, mais cela signifie que les  montants dépensés ne seront pas remboursés puisque je ne ferai pas de demande de remboursement. La loi m’autorise à dépenser de ma poche $1,000.00 auxquels j’ai cru comprendre que je pouvais en ajouter un $700.00 de plus dans des circonstances nébuleuses juridiquement.

Lorsque j’ai parlé avec des fonctionnaires du bureau du Président des Élections de Montréal, une au moins m’a avoué que dans leur bureau, pourtant versé dans l’interprétation de la loi, on avait beaucoup de difficulté à comprendre les nombreux articles qui se côtoient dans le texte de la loi. Et dans ce bureau, ce sont eux les pros de cette information.

Ne voulant pas être en contravention avec la loi électorale, je vais tout simplement m’abstenir de quelque dépense que ce soit, hormis les $1,000.00 que cette loi m’autorise.

Affichage

Quant à ceux et celles qui décideront de leur propre chef de se faire des panneaux à accrocher à leur galerie, ou des affiches, et de les coller dans leur voisinage, ils le feront par amour de la démocratie, et parce qu’ils pensent en leur for intérieur que je serai un bon maire pour Montréal. Ils doivent donc agir bénévolement, à leurs frais, sachant qu’ils ne seront pas remboursés. 

Je vais mettre en ligne sur mon blogue des modèles de tracts qu'ils pourront copier pour quelques sous, et qu'ils épingleront dans leur quartier. À charge pour ces ''amis(e)'' de les enlever après le 3 novembre. Vous pouvez faire une facture, et envoyez le tout  à mon courriel: clement.sauriol@gmail.com.  Je parle ici de moyennes sommes, mettons au-delà de $20.00. J’enverrai tout cela au DGE. 

En fait d’après ce qu’on m’a expliqué il ne faut pas que les dépenses individuelles faites sans mon autorisation dépassent les $300.00 par électeur.  Ce qui est peu probable, à moins que je n’aie fait depuis un an un forte impression sur quelques électeurs (trices) qui seraient tombés en amour avec ma façon de voir les choses. Ce qui est possible et souhaitable après tout, soit dit ici en riant.

Je ferai ce rapport afin de satisfaire la loi électorale qui nous le  demande.  Sans doute pour éviter que des groupes puissants, usant de leur force financière, ne viennent mélanger les cartes en publicisant de manière indue, tel ou tel autre candidat.

Si cette publicité est faite individuellement, et de manière non concertée, je pense que le D.G. des Élections ne trouvera rien à y redire. On entre ici dans le domaine de la bonne foi où doit s’exercer la démocratie participative.

Bien évidemment je n’ai aucun moyen de vérifier qui où et quand, va vouloir me faire connaître dans son quartier, ou ailleurs dans les arrondissements de Montréal. Cela prendrait une armée et je n’en ai pas. Je compte sur le bouche à oreille, Facebook, Twitter pour ceux et celles qui connaissent cela, et éventuellement les médias qui décideront ou pas de faire connaître, et ma personne et le programme que je propose.

Je voudrais bien que mon élection soit le fruit d’une approbation citoyenne engagée, plutôt que de la devoir à une opération de marketing faite de slogans et de ruses publicitaires.

Il faut donc que chacun de vous prenne l’initiative qu’il ou elle jugera bon de prendre, sans espérer le moindre retour sur son investissement de temps et d’argent, autre que la satisfaction d’avoir favorisé un candidat qui offre de bonnes chances d’améliorer les choses à Montréal.

J’essaierai de ne pas vous décevoir. Je m’engage donc à faire de mon mieux et lorsque je serai à la tête de la ville, de notre ville, je ne manquerai pas de demander vos avis de citoyens éclairés. Je resterai ouvert aux suggestions, et vous serez les bienvenus à l’Hôtel de Ville qui vous sera toujours accueillante. Bien évidemment vous aurez l’obligeance de vous annoncer avant d’y venir. Comme ça on pourra vous y recevoir dignement.

Alors c’est entendu, faites-vous une belle campagne, et que les meilleurs parmi vous remportent cette élection.

Je vous demande de participer en grand nombre et s’il vous plait, allez voter.

Clément Sauriol

Candidat Indépendant à la Mairie de Montréal.

Élections le 3 novembre prochain.


samedi 6 juillet 2013

Ah les nids de poules de Montréal!

Samedi le 6 juillet 2013
Problème insoluble? 
Mais non voyons. Problème à régler avec un peu de bonne volonté, du savoir faire ordinaire et de l'huile de bras.

Dans un précédent document j'ai utilisé l'image frappante de l'enlèvement de la neige comme modèle d'intervention à prendre, afin de réaliser rapidement, aux meilleurs coûts, de très grands travaux. 

Un travail titanesque qui passe pour ordinaire. 
Cela n'a l'air de rien tellement nous y sommes habitués, mais enlever une bordée de neige de plus de 30 centimètres en une dizaine de jours, sur un territoire grand comme le Québec carrossable, est un exploit qu'on peut classer dans les fameux.

Le modèle développé ici au Québec n'est pas unique, mais il est remarquablement performant, compte tenu que notre climat nous propose chaque année sept ou huit grosses interventions du même genre.

Ceux et celles qui pestent parfois contre la lenteur d'exécution d'une telle corvée, ne se rendent pas compte à quel point le seul fait d'y arriver (déblayer toutes les rues, les routes et les trottoirs de toutes nos villes et villages en plus ou moins dix jours) est un redoutable exploit.

Pour votre information sachez que pour y arriver la seule ville de Montréal y consacre un budget de 150 millions de dollars, et ce pour une seule année. Il faut recommencer cet exploit chaque année qui s'amène avec des hauts et des bas sans doute, mais quand même ce n'est pas une petite affaire.

Une bordée de neige c'est partout dans le Monde ou presque, une calamité à ranger parmi les catastrophes comme les inondations, les tremblements de terre, les glissements de terrains, les ouragans et ainsi de suite. Il se trouve qu'ici au Québec nous bâtissons en fonction de ce désagrément-là depuis plus de 100 ans. Et pourtant alors qu'on arrive à limiter la casse, il faut bien reconnaître que c'est parce qu'on y met le prix et quel prix!

Une armée de machines, grandes et petites, des troupes aguerries de cols bleus et de manœuvres, d'ouvriers spécialisés, de planificateurs, d'intervenants d'urgence pour dégager le terrain.

Imaginez maintenant que l'on applique la même médecine d'intervention à la réparation des nids de poules.

En procédant exactement comme pour une bordée de neige énorme, sans toutefois l'inconvénient d'avoir à charrier 20 ou 30,000 camions de neige à aller porter dans plus de 30 dépôts répartis aux quatre coins de la ville.

Ça prend la même armée pour réparer les rues que pour enlever la neige.

Parce que bien sur, en mobilisant une armée de travailleurs de la voirie, les mêmes en fait que ceux qui enlèvent la neige l'hiver, on arriverait en quelques semaines (le temps de roder la technique qu'il faudra ajuster aux circonstances) à réparer des centaines de kilomètres de chaussées abimées.

Parce que bien évidemment il n'y a pas des trous dans les rues à chaque pied de distance. Il y en a ici et là. Ce sont des trous sournois parce que pour l'essentiel, les rues, pour trouées qu'elles soient, ne sont pas à refaire dans leur totalité.

Il faut simplement décoller les morceaux brisés ici et là, lesquels seront refondus sur place si c'est faisable, ou retournés au plant d'asphalte pour y être immédiatement recyclés. Incidemment sachez que l'asphalte est le produit le plus recyclé en Amérique. Dans une proportion de plus de 80%.

Une première équipe avertit donc les citoyens 12 heures à l'avance, de ne pas stationner dans les rues visées, tout comme une action d'enlèvement de la neige.

Puis on procède avec une deuxième équipe qui prépare le terrain en vue de l'arrivée des machines. Il faut agrandir ceux-ci (les trous, les craques) et enlever tout ce qui est morcelé comme un casse-tête. Il est inutile, comme cela se fait trop souvent, de mettre de l'asphalte sur ces morceaux brisés. L'action des voitures qui passent remue les morceaux du dessous, et tout est à recommencer en quelques jours. Il faut que ce travail de patchwork soit bien fait. Ça prend un peu plus de temps, mais comme on n'a pas à y revenir aux quinze jours ça vaut la peine.

Quelques heures plus tard ce sont les camions avec de l'asphalte (de qualité bien évidemment) les bouilloires de goudron, les aspirateurs pour bien vider les trous. On badigeonne de goudron liquide. On peut poser dans les grandes surfaces un treillis  (en plastique qui ne va pas se contraindre au froid) lequel va assurer la cohésion de l'ensemble, puis on passe le rouleau compresseur en mouillant légèrement l'asphalte pour ne pas qu'elle attache, et ainsi de suite. Après quoi on signale le travail en le balisant jusqu'à ce qu'il refroidisse, et ainsi empêcher les voitures de passer dessus prématurément. Ce n'est pas sorcier.  Bien sur un tronçon de rue trop abimé peut requérir une intervention plus musclée. Comme de tout enlever la vieille asphalte et repaver la section trop endommagée.

Pour votre gouverne sachez qu'il ne saurait être question que la ville acquière à coups de millions, une lourde machinerie qui ne servira que ponctuellement une fois le gros du travail de reprise accomplit. 

Solidarité entre les municipalités
Il y a tout autour de Montréal d'autres municipalités qui ont un tel équipement qu'il faudra emprunter ou réquisitionner, moyennant compensation financière. Tout en sachant qu'éventuellement c'est Montréal qui prêtera ses équipements. On appelle cela des échanges de bons procédés. De la machinerie qui dort dans des entrepôts à ne rien faire c'est de la mauvaise gestion du bien public. Cet équipement-là n'appartient pas aux municipalités mais aux citoyens, et ceux-ci circulent partout au Québec. Affaire de bon sens.

D'autant plus qu'après une première grosse corvée, visant à boucher professionnellement tous les trous en quelques semaines, les nouveaux trous ne demanderont plus que des interventions ponctuelles et régulières. Il est donc inutile d'investir massivement dans de l'équipement qui ne doit servir que lorsque c'est nécessaire. et qu'on peut emprunter.
Les citoyens seront invités à  dénombrer et signaler les nids de poules lorsqu'il réapparaitront. 
Pourquoi pas des corvées de citoyens aidants? 
Maintenant, chaque fois qu'il tombe une bordée de neige, vous avez en quelques heures et quelques jours, une armée de citoyens bénévoles qui se chargent de nettoyer leur trottoir et aussi leur morceau de rue, histoire d'y garer leur voiture avant que la ville ne ramasse le tout.

Il doit en aller de même avec les grosses corvées. Il faudra demander dans chaque quartier, une armée de ces bénévoles qui seront encadrés par les cols bleus, et qui leur prêteront main forte. Cela se fait à chaque inondation, à chaque tornade, à chaque tempête de neige, quitte à leur fournir bottines, casques, et vêtements de travail. Cela doit se faire pour réparer les nids de poules. L'argument qui m'est parfois servi que les cols bleu vont s'indigner d'une telle pratique n'est pas à retenir. Primo parce que ce n'est pas vrai, et deuxièmement parce que la ville n'appartient pas aux cols bleus mais aux citoyens. Et puis cessez de taper sur les cols bleus, ils accomplissent quotidiennement un travail énorme dont vous n'avez pas la moindre idée.

Dégager les trous les plus faciles de leurs morceaux brisés, de leurs débris. Mettre tout cela en tas d'abord, puis ensuite dans les camions, assurer la sécurité des chantiers comme  personnes ressources pour dévier le trafic, poser des barrières, de la signalisation. 
Il y a une multitude de petites tâches que les citoyens peuvent faire en collaboration avec les cols bleus,  ou les employés des firmes privées, sans que cela ne cause de préjudice à qui que ce soit.  D'autant plus que cette ville comme je l'ai dit plus haut et je le répète ici, appartient aux citoyen qui ont non seulement le droit de l'entretenir, mais en ont aussi le devoir.

Il y a énormément de citoyens qui sont familiers avec des  travaux de rénovation, et ce n'est pas un quelconque pelletage de débris qui va les indisposer. Vous n'êtes pas des enfants à qui on doit tout dire.

Et la sécurité? 
Elle commence avec des rues dans lesquelles on ne risque pas de briser sa voiture en tombant dans un trou, et en causant des accidents dont on peut se passer. Les cyclistes ne me contrediront pas. Et les automobilistes pousseront des soupirs de soulagement en ne maltraitant pas constamment leurs amortisseurs, ou en perdant leurs enjoliveurs. Ils seront moins enclins à vitupérer contre le mauvais état de la route, et tout le monde s'en trouvera mieux.
Il faudra être prudent, mais en fin de compte le nombre de bénévoles servira à alléger le travail général. Puis au cours des pauses les citoyens se rapprocheront de leurs cols bleus (on leur fournira le café le thé et l'eau) et ils apprendront ainsi à mieux les apprécier. 
On entre ici dans le domaine du civisme le plus franc qui soit. Sans doute qu'il y aura quelques accrochages, et aussi quelques accidents, on ne peut pas tout éviter, mais dans l'ensemble, l'amélioration générale des rues profitera à la sécurité générale grandement améliorée. La ville trouvera bien aussi le moyen de mettre ses citoyens bénévoles à l'honneur.
Ça vous plait ça comme approche?

Très bien!

On va s'y mettre tous ensemble. Les suggestions d'amélioration du savoir faire seront les bienvenues.

Clément Sauriol

mercredi 3 juillet 2013

La Mairie de Montréal au 3 novembre 2013

Clement Sauriol
Mercredi le 3 juillet 2013

Les Élections à Montréal le 3 novembre prochain.


Alors voilà c'est fait. je suis maintenant autorisé par le Directeur Général des Élections du Québec, le D.G.E., à commencer ma campagne pour la mairie de Montréal.
Je serai donc candidat (indépendant bien sur) à partir du 20 septembre prochain. Selon le site du D.G.E., j'ai cette autorisation depuis le 28 juin, ce qui fait de moi le 4e candidat déclaré, avant M.Marcel Coté qui ne se déclare qu'aujourd'hui, alors qu'hier Mme. Louise Harel s'est désistée en sa faveur. Je vous signale ici en passant que j'ai annoncé mes intentions l'automne dernier soit en 2012.

Notons ici 5 postulants accrédités parmi les plus visibles au poste de Maire de Montréal.
Richard Bergeron de Projet Montréal, Denis Coderre de l'Équipe Coderre, qui vient de changer ce nom pour reprendre l'ancien nom du parti de Gérald Tremblay ''Union Montréal'', alors qu'il a recruté tous les anciens du même parti. Puis Mélanie Joly qui fera la course en solitaire. Et depuis ce matin  Marcel Coté, un ancien du Groupe Secor dont faisait aussi partie Raymond Bachand Ministre des Finances du Parti Libéral du Québec sous Jean Charest, et qui vient d'annoncer sa retraite de la politique (27 août 2013).

Ainsi que moi-même Clément Sauriol, qui propose ses services aux citoyens qu'il va falloir maintenant convaincre d'aller voter.  Il y en aura d'autres au moment du déclenchement de la campagne le 20 septembre prochain.
 

Ce sera le plus difficile. J'ai obtenu de M. Michel Labrecque, P.D.G. de la S.T.M. (de son bureau en fait) la permission de m'adresser aux montréalais (es) dans le Métro et sur les terrains de la Société des Transports de Montréal.
Vous m'y verrez tout au cours de l'été.


Dites-vous bien qu'aux prochaines élections à Montréal, vous aurez à choisir entre des candidats qui ont l'aval des grandes entreprises ou qui ont retenus les services d'agences de publicité (comme MM. Coté et Coderre) si c'est cela que vous voulez. Ou encore une jeune personne charmante (Mme Mélanie Joly). Ou même pourquoi pas, un homme comme M.Richard Bergeron de Projet Montréal, qui a des idées de grandeur plein la tête.
À moins que vous ne préfériez en bout de ligne un citoyen de Montréal aux talents multiples, à l'expérience de vie enrichie par des travaux pratiques durant plus d'une génération, c'est à dire votre serviteur...
Ah oui, en passant... je souhaiterais être élu avec une forte majorité, sans devoir dépenser d'argent en campagnes d'image, histoire de mousser ma candidature.
Mme André Boucher avait réussi cela lorsqu'elle s'est présentée à la Mairie de Québec. Elle avait devant elle des candidats qui ont dépensé de centaines de milliers de dollars, alors que de son coté elle n'avait que $5,000.00. 
Ça c'est de la démocratie participative qu'on se le dise !


Clément Sauriol

Candidat autorisé à la Maire de Montréal