dimanche 30 mars 2014

Jour d'élections anticipées à Québec.

Dimanche le 30 mars 2014

Il fait une tempête hivernale avec blizzard de type janvier. On se croirait en plein hiver. Kool, j'aime beaucoup! Ça n'a pas empêché les gens de se déplacer pour aller voter.

Je mets ici les références à mon site Facebook, pour que vous puissiez aller y lire les articles que j'y ai mis, depuis que la campagne est commencée. Il y en a une dizaine et il y en aura d'autres d'ici le 7 avril.

Facebook:
https://www.facebook.com/clement.sauriol.1

Les titres des articles:



Nous sommes en élections
Titres des articles à lire avant d’aller voter le 7 avril 2014.
Chroniques du temps qui passe
1) Nous sommes en élections.
2) Le pétrole de l’Île Anticosti.
3) Les slogans : Expliquer le Monde en deux mots. (a)
4) Les slogans : Expliquer le Monde en deux mots. (b)
5)  À soir on fait peur au Monde. N'en jetez plus la cour est pleine !
6) Malaises et mesquineries. Texte de Julien Maréchal.
7) Écarts de langage, attention danger !
8) Les partis politiques, c’est du pareil au même ?
9) (a) Générations.
9 (b) Générations… suite.
À venir:
9 (c) Générations… suite.
10 (a) Le vote : P.Q.
10 (b) Le vote : Les Libéraux et la CAQ
10 (c) Le vote : Québec Solidaire et Option Nationale

mardi 11 mars 2014

La ville de Montréal c'est notre métropole : c'est important pour tous les québécois.

Montréal le mardi 11 mars 2014

 Le printemps est à nos portes
Les élections au Québec
Nous sommes en élections. Je suis à préparer une revue des activités de la Ville de Montréal. Pas seulement du point de vue administratif, mais surtout au sujet de ce qu'y vivent les montréalais.  Une fois les élections terminées je vous reviendrai ici avec des sujets passionnants.

Pour le moment ce sont les élections qui me sollicitent. Ce qui se passe est très intéressant. Il y a du débat dans l'air, et j'irais presque jusqu'à dire que ces élections-là sont plus riches, plus intéressantes que les dernières élections municipales. 
Il est vrai qu'au Québec les élection provinciales soulèvent plus les passions. C'est un tort. Une démocratie participative en santé verrait le même pourcentage d'électeurs s'impliquer, se déplacer pour aller voter, quelque soit le niveau de gouvernement. 

Mais ce phénomène est universel. L’abstentionnisme est aussi virulent aux USA (encore plus qu'ici) qu'il ne l'est en Europe, du moins aux niveaux municipaux. Mais bon je n'y peux rien, c'est vous les citoyens qui y pouvez quelque chose. Si ça ne vous intéresse pas, je ne peux pas vous forcer.

Je vous invite donc à me suivre pour le moment sur Facebook où je tiens une ''Chronique du temps qui passe ''sur les élections à Québec, presque au jour le jour.
Je vais même y donner la parole à d'autres, et surtout, oui surtout je vous la donne à vous tous. Vous pouvez m'écrire ici, mais vous pouvez le faire facilement sur Facebook. C'est prévu. 

Si vous n'avez pas accès à Facebook, mais que néanmoins vous voudriez lire mes textes, dites-le moi et je vais les mettre ici sur mon blogue.
Alors suivez le lien

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Bonnes élections à tous

Clément Sauriol




mercredi 15 janvier 2014

Bonjour Mme Payette

J’ai écouté et plutôt deux fois qu’une, l’entrevue qu’accordait Lise Payette à Benoit Dutrisac sur Télé-Québec à son émission des Francs-Tireurs. Puis j’ai écouté avec beaucoup d’attention le documentaire sur sa vie, où c’est sa petite fille qui lui pose des questions. Deux excellents moments de télévision où, pour une rare fois, cette extraordinaire invention qu’est la télévision, remplit son rôle d’éducation et d’information.

Il est regrettable et même décourageant au premier regard, de constater que les plus jeunes, ceux et celles qui sont entre 14 et 18 ans, ne connaissent pas du tout Lise Payette. N’en ont jamais entendu parler. Encore qu’il soit difficile de se faire une idée exacte de ce que connaissent les plus jeunes, à partir d’un si pauvre échantillonnage.

Ce serait différent si on interrogeait 3 ou 4 mille jeunes, mais passons. Les jeunes de toujours ne s’informent pas des choses qui préoccupent les grandes personnes.
N’oublions pas ce constat fait il y a des milliers d’années, par un penseur dont le nom m’échappe, et qui devait vivre quelque part dans la Mésopotamie, la Grèce, l’Égypte ancienne, ou pourquoi pas la Chine ou les Indes ? :
‘’Les générations montantes s’opposent toujours à celles qui les précèdent ’’. 

Il nous en faudrait beaucoup de Lise Payette ces temps-ci. Parlez-moi d’une citoyenne qui n’a pas la langue dans sa poche, et qui ne se laisse pas intimider par les vomisseurs de clichés, propagandistes de leur seule et unique bienséance. Ces bien-pensants qui pensent tout croche, et qui sont dévoués à une seule cause… la leur.
J’ai rencontré une fois Lise Payette. C’était sur la Grande Scène le soir d’ouverture des festivités de la Fête Nationale de 1975 au Lac des Castors sur le Mont Royal à Montréal. Elle attendait de monter sur la scène où elle annonçait le programme et encourageait les Québécois à être fiers de ce qu’ils sont. On placotait de bonne humeur, et je me souviens de sa gentillesse lorsque n’étant que machiniste de scène, elle me parlait et échangeait avec moi comme si j’étais la personne la plus importante qui soit.
Ça c’est du respect. J’en ai gardé un souvenir marqué.

Son combat pour l’avancement de la Condition Humaine, qui passait par l’émancipation de toutes les femmes, rejoignait aussi les hommes de bonne volonté. Elle laisse un immense héritage de dévouement, un chantier considérable quoique toujours inachevé, de l’amélioration de cette Condition Humaine.
J’ai été touché, parce que d’abord je les aime bien pour leurs intelligences si articulées, par les témoignages des principaux protagonistes du Printemps Érable, Martine Desjardins, Gabriel Nadeau-Dubois et Léo Bureau-Blouin.

Mme Payette rend aussi un hommage mérité à Pauline Marois, qui se bat dans cette arène qu’est l’Assemblée Nationale. J’entends depuis son élection (où elle est passée à un doigt de se faire assassiner) jaillir sur son compte les pires horreurs, et trop de ces horreurs sont distillées par d’autres femmes.

Il y en a dans mon entourage, et je suis confondu devant la méchanceté toxique de certaines déclarations contre Pauline Marois, qui sont proférées par des femmes qui la vouent aux gémonies.

Mme Marois est ciblée pour 3 raisons toutes plus ignobles les unes que les autres. La première est qu’elle est une femme, la deuxième est qu’elle est la Première Ministre (et qu’elle est la première femme à occuper ce poste depuis que le Québec existe) et la troisième est qu’elle est la Cheffe du Parti Québécois.
Elle est donc détestée et honnie par ses détracteurs, qui ne lui pardonnent pas d’être une maudite ''séparatisse'' comme aurait proféré un Jean Chrétien, individu grossier entre tous.
Vous pouvez être certain que si une femme du Parti Libéral avait été la première à être élue au poste de Première Ministre, qu'elle aurait été traitée avec plus de modération.
Lorsque j’entends les gens déconsidérer Pauline Marois, je n'entends pas de critique démocratique, ni de dénonciation articulée au sujet de ses politiques, mais bel et bien des déferlements de haine.

Exactement ce que Lise Payette et tant d’autres femmes supérieures ont subie au cours des âges. Nous ne sommes pas sortis des cénacles machistes, ni des sacristies, quand on voit les acquis sociaux, péniblement arrachés à l’obscurantisme millénaire, être mis en danger par celles-là même qui devraient les défendre.
Quelle désolation devant tant de femmes accoutrées de signes religieux tous plus immondes les uns que les autres, hurler comme des harpies pour qu’on ne leur impose jamais la moindre liberté de penser. Elles prétendent défendre leur identité soit... alors qu’elles devraient défendre leur liberté.
Ce n’est pas la même chose.

La religion catholique ainsi que toutes les religions chrétiennes, sont des impostures, des infamies, de même que toutes les autres religions concoctées par des mâles dominants et exclusivement au service des hommes.
 
C’est particulièrement vrai pour l’Islam. Et à regarder ce qui se passe partout sur notre planète, on doit s’indigner dynamiquement devant les manifestations de brutalité, de haine, de sang et de mort que propage l’Islam, peu importe ce qu’en disent ses défenseurs lorsqu’ils nous exhortent à ‘’croire’’ qu’il y a un autre Islam, et qu’il faut le connaître pour l’apprécier.

Je me fiche qu’il y ait un Islam paisible, c’est une religion dominante et exclusive comme toutes les religions, et elle doit être refoulée aux dépotoirs de l’Histoire.
Si bienveillante que cette religion-là soit, au dire de ses adeptes modérés, il n'empêche qu'elle inspire d'immenses cohortes d'individus tous plus méchants les uns que les autres, et qui chaque semaine souillent l'actualité de leurs bruits et de leurs fureurs. Le pire constat que l'on peut faire contre ces illuminés acharnés à tout saccager autour d'eux, est qu'ils s'en prennent surtout à des innocents, et de surcroit à leurs coreligionnaires. Le christianisme en son temps a lui aussi accablé l'humanité de ses abominables excès, et ses dénonciations anti-féministes existent toujours.

Mme Payette à qui je souhaite une longue et paisible vieillesse, a bien mérité de tous les êtres humains dignes de ce nom. Pas seulement des Québécois.
Merci à vous Lise !
Clément Sauriol
Candidat indépendant à la mairie de Montréal le 3 novembre 2013.

lundi 4 novembre 2013

Site officiel de Clément Sauriol, candidat Indépendant aux élections de Montréal, le 3 novembre 2013


Le possible a été fait, cela n'a évidemment pas fonctionné.
Fin de parcours annoncé.

Nous pouvons maintenant retourner à nos affaires quotidiennes. On retiendra de cette élection que 55% des électeurs de Montréal ne se sont pas déplacés pour voter. Et ce malgré les exhortations des gouvernements, tant celui de Québec que celui de Montréal, qui ont investi des millions pour démontrer aux gens l'importance d'aller voter. 
Rien n'y fait, le bon peuple ne se déplace pas pour une élection municipale. Doit-on interpréter cet absentéisme comme une protestation envers une classe politique discréditée, qui ainsi se voit stigmatisée d'un lourd déficit de légitimité? 

C'était la même chose aux précédentes élections, alors qu'Union Montréal, déjà empêtré dans les scandales est tout de même parvenu à se faire réélire et avec lui (le Parti Union Montréal) tant de petites crapules qu'on connaissait pourtant. Maintenant, au-delà de l'indignation de pacotille des citoyens qui ont chialé jusqu'à plus soif, mais n'ont rien fait pour changer les choses, nous reprenons la politique conventionnelle des partis magouilleurs, des politiciens retors, infantilisants,  et ma foi c'est ce que les gens veulent. 
''Vox Populi, vox populi''. La voix du peuple c'est la voix du peuple. Surtout quand elle ne dit rien.

Les médias (tous) ont perverti la démocratie. Et on s'interroge sur ce qui a pu pousser toute la classe journalistique, à faire élire un Denis Coderre à la mairie de Montréal? Pourquoi était-ce si nécessaire, et nécessaire à qui?

Étaient-ils tous aveugles au point de ne voir que ces quatre partis, dont ils n'ont cessé tout au long des deux dernières années, à nous exposer les travers, et les quelques contenus douteux de leurs programmes souvent squelettiques? 
Plus souvent inexistants ou complètement délirants? 
Aussi pourquoi avoir voulu à force de visibilité, donner tant et tant de crédibilité à Denis Coderre, toujours présenté comme le meneur incontestable, qu'il soit élu coûte que coûte? On ne le sait pas. 
À moins qu'ils n'aient tous reçus  des instructions sévères d'instances occultes, qui les ont mis en demeure de ne pas déroger à la ligne éditoriale prescrite? C'est possible. 
Quoi qu'il en soit ce qui devait arriver est arrivé, et nous sommes pris avec pour quelques années. Il reste à espérer contre tout pronostic, que ce politicien carriériste avant tout, pourra quand même faire quelque chose pour Montréal qui en a bien besoin. 
On ne peut pas toujours tabler sur le pire en espérant le meilleur. Donnons sa chance à ce coureur, si tant est, étant donnée sa prestance, qu'on puisse lui accoler une telle fonction athlétique.
Tout dépit mis à part, et j'en admet un certain degré ce qui est tout à fait naturel, tous sans exception, vont rapidement déchanter soyez-en certains. J'espère ici me tromper. Cependant le passé de cet homme qui sent le souffre, est garant de son avenir.  Et du nôtre! On n'y coupera  pas: '' Qui a bu, boira!''.

On doit cependant penser, espérer, souhaiter qu'avec l'étalage au grand jour des magouilles qui ont entaché la réputation de Montréal, et discrédité sa classe politique, que les dirigeants actuels vont comme on dit se garder une petite gène, et se sachant surveillés de près, vont réfréner pendant quelque temps leurs envies de fourrer encore une fois leurs doigts crochus dans la caisse. 
Cependant, ne vous faites pas d'illusions. Sans une surveillance de tous les instants, les mauvaises manières reviendront au galop comme le naturel que l'on chasse. À la première baisse de vigilance les magouilleurs reviendront en force, et ce ne sont pas quelques sparages autour de stratégies  antidérapantes, qui empêcheront les voleurs de revenir encore une fois puiser dans vos avoirs.  Les enjeux sont bien trop grands pour que ces messieurs-dames affamés de biens mal acquis, renoncent à un tel pactole. La guerre aux fraudeurs est une affaire interminable. C'est un combat permanent. 
L'idéal dans un monde imparfait est de maintenir ces détournements dans un pourcentage toujours inacceptable bien sur, mais inévitable compte tenu de la nature humaine. Des quelques 30 % de détournements dont nous avons été les victimes depuis plus de 20 ans, si on arrivait à en diminuer la fréquence jusqu'à 1% ce serait déjà fameux. Je table plutôt sur des détournements probables d'au moins 10%. Les rusés coquins qui rodent autour de l'Hôtel de Ville de Montréal ont plus d'un tour dans leur sac. Je suis pessimiste me  direz-vous, parce que se faire voler 10% du budget de la ville c'est déjà envisager des pertes de 500 millions par année, mais tout ce que je peux vous dire ici est que j'espère me tromper. Des fois qu'une vague formidable d'intégrité déferlerait sur notre ville. Pourquoi pas après tout? 
Mais bon hein...!

Un maigre 45% de participation citoyenne. 
Cette indifférence généralisée aura de lourdes conséquences.
Le Gouvernement  du Québec, à force de publicités songées, a fait son possible afin d'inciter les gens à aller voter... en vain. 
Le score est semblable à celui  d'il y a 4 ans. C'est désespérant et c'est aussi une grande leçon. 
Les gens détestent cette démocratie artificielle, ce miroir aux alouettes. Ils savent qu'ils n'ont rien à faire dans ces rendez-vous électoraux, où tout est décidé dans des lieux secrets, que tout le monde devine, mais qu'on ne peut pas nommer, tant les fausseurs de démocratie sont bien organisés. 
Il y a aussi ce sentiment d'impuissance qui accompagne le geste de voter. Chacun, pris individuellement, se rend compte qu'une seule voix, la sienne, est dérisoire face à l'énorme machine qui est celle du pouvoir. Les gens ont probablement le sentiment que quelque part dans le processus électoral, les choses sont ainsi faites que leur vote n'aura pas de poids, ne comptera pas, que tout est truqué, qu'il s'agit d'abord et avant tout d'une affaire d'organisation partisane, et que le citoyen votant, qui n'est affilié à aucun parti, ne sera pas pris en compte. 
Et les gens, qu'ils pensent cela ou simplement le suppose, se désaffilient massivement d'un processus qui ne les concerne pas. Du moins au premier degré, qui est précisément celui du vote. Parce qu'au deuxième degré, qui est celui du pouvoir, du pouvoir de taxation, alors là oui, ils vont le sentir passer.

Entre aussi en ligne de compte dans cette abstention massive, cette autre réalité qui fait que la majorité des gens ne comprennent absolument pas le processus électoral, qu'ils s'en fichent, parce que tout simplement ça ne les intéresse pas. N'étant pas politisés, il ne se doutent même pas de ce que peut représenter pour leurs propres intérêts, le fait de voter. 
S'ils ''écoutaient'' (donc avec un esprit critique) les nouvelles du Monde Entier, au lieu de les ''entendre'' (passivement) parfois à la radio ou à la télévision, ils prendraient conscience de l’importance majeure du vote populaire, alors que dans tant de pays, on s'entretue pour simplement l'acquérir ce droit si précieux. Mais dans les démocraties occidentales, les citoyens repus, ne se préoccupent plus d'aller participer à la chose publique. Ils s'occupent de jouir de leurs existences de consommateurs, et du moment qu'on ne les embêtent pas avec des choses compliquées ils ne réagissent pas. Ils subissent béatement et s'en trouvent satisfaits. 
Il faut dire cependant à la décharge de l'électeur moyen en Occident, que les partis politiques, qu'ils soient d'une tendance ou d'une autre, se ressemblent tous. Leurs différences tiennent à des façons de faire la politique gestionnaire, et en somme ces partis ne s'adressent pas à l'humain en particulier ou en général, mais visent une clientèle choisie.

Pourtant cette fois-ci l'électorat abstentionniste (55%) a eu tort. Une élection municipale n'a pas l'effet d'une élection provinciale ou fédérale. Mais c'est pourtant là l'élection la plus proche des citoyens, puisqu'elle implique le quotidien de chacun.
Il fallait voter en masse, même pour annuler, et contrer civiquement cette dérive anti-démocratique. Les gens, écrasés par la pression médiatique, n'ont pas eu ce sursaut de participation qui aurait fait toute la différence, comme lors des dernières élections fédérales, où une certaine vague orange a confondu tout le monde, y compris les sondeurs. 
Ceci étant dit, on constate que cette vague orange n'était, du moins pour le Québec où elle s'est produite, qu'une manifestation d'humeur frustrée de la part des électeurs. Depuis cette élection, où là aussi l’abstentionnisme a établit des records, le N.P.D. n'a rien fait de significatif, et n'a rien proposé aux québécois qui lui ont pourtant donné l'opposition officielle. 
Depuis plus d'un an cette opposition s'est acharnée à déconsidérer le gouvernement conservateur de Stephen Harper autour de questions éthiques empoisonnées, sur une thématique insignifiante à l'échelle des finances publiques, de l'ordre de quelques centaines de milliers de $ de dépenses sottes de la part de sénateurs paresseux et bêtifiants. 
Pendant ce temps-là le reste du budget du gouvernement fédéral est resté dans l'ombre, et ses dépenses à coups de dizaines de milliards ont été occulté par cette dérive idiote au sujet des frasques de quelques sénateurs véreux.

Il faut maintenant tourner cette page, et tâcher de faire notre possible. Le quotidien nous attend. Cette aventure est terminée. Peut-être y reviendrons-nous une autre fois. Pour le moment, c'est fini!

Au revoir!

Clément Sauriol


dimanche 3 novembre 2013

vendredi 1 novembre 2013

Il y a un peu de visibilité médiatique. Presque pas mais un peu.

L'émission de mercredi soir sur Matv s'est ma foi très bien déroulée. Elle aura duré quelques 20 minutes, ce qui est une performance de la part de Matv, dans le désert aride de visibilité que nous ont offert (en fait ils ne nous ont absolument rien offert) les médias, tant écrits que télévisuels ou électroniques. Et ce depuis plus d'un an qu'il n'en ont que pour ''On sait qui''.

Suite à cette émission que je mets en ligne, ici même sur ce blogue, il me semble qu'elle plaira aux internautes, d'autant plus qu'on la rediffuse plus de 6 fois, ce qui est très bien.
Voici donc ce lien précieux:
http://matv.ca/montreal/mes-emissions/mise-a-jour-montreal/videos

Allez. votez quand même, sait-on jamais ?

Et puis tiens je vais vous faire une autre suggestion, que vous examinerez au mérite.
Vous pensez qu'il y a tellement de candidats, de candidates, que dans ce fouillis vous n'arrivez pas à vous faire une idée, quant à ce vote qui vous appartient?

Et bien allez voter et annulez tous vos bulletins en votant pour tout le monde. Vous allez voir que s'il y en a des milliers qui font ça, que ça va compter dans la valeur future de ce vote. Que pourront dire les élus lorsqu'ils se vanteront d'avoir eu une quelconque majorité, si dans l'ensemble, le vote de protestation fait de tous ces bulletins annulés, est plus élevé que tous les autres?

Ils devront se taire au lieu de se vanter, et sauront qu'ils sont sous haute surveillance, devant une population qui vote, même si c'est pour désapprouver.

Ou bien votez pour moi.

Vous n'avez rien à perdre et tout à gagner. Je ne promets rien d'autre que de faire mon possible, et mon possible vaut toutes les promesses de tous ces partis politiques, rompus aux expédients, aux raccourcis, aux miroitements de promesses qu'ils ne tiendront pas.

Un miracle???
Je ne suis pas croyant!
C'est à vous les citoyens de décider, et je compterai sur vous tous pour me donner un coup de main.

Clément Sauriol

mercredi 30 octobre 2013

Élections à Montréal: la parole aux indépendants



Une rare émission de télévision à Matv : Canal 09, ou 609 HD.

C’est ce soir à 20 heures mercredi le 30 octobre que j’aurai quelques minutes en compagnie d’autres candidats indépendants. On nous donne l’occasion, quelque peu tardive malheureusement, d’exposer certains aspects de nos programmes respectifs, et faire connaître nos personnes.

Vous êtes donc invités à suivre ce débat qui durera une heure m’a-t-on dit. C’est l’animatrice Karima Brikh qui nous reçoit.
http://matv.ca/montreal/mes-emissions/mise-a-jour-montreal/videos


Rediffusions multiples.

L’émission a ceci de particulier qu’elle sera ensuite rediffusée  jeudi le 31 octobre, à 8 heures du matin et à 14 heures la même journée.

Puis encore vendredi le 1er novembre, à midi et à 19 heures.

Ainsi que le dimanche jour du vote, à 8 heures du matin et aussi à 17 heures.


Ça pourrait servir. On vous y attend.

Clément Sauriol

Candidat indépendant à la mairie de Montréal le 3 nov 2013